Les tremblements de terre,
c'est quoi au juste ?
La formation d'un tremblement de terre et les facteurs physiques influençant sa force
Les caractéristiques :
- La force : Chaque tremblement de terre possède sa propre force. La force est calculée par certaines échelles via sa magnitude. On en compte plusieurs, mais voici les plus connues: l'échelle de Richter, l'échelle Rossi-Forel, l'échelle Medvedev-Sponheuer-Karnik, l'échelle de Mercalli, l'échelle de Shindo et l'échelle macrosismique européenne. La force diminue à mesure qu'on s'éloigne de l'épicentre. La raison qui justifie cela est celle du milieu géologique qui fait preuve de nombreuses ondes sismiques et des effets de sites. La force du séisme dépend de sa magnitude et vice versa. La magnitude en soi est le degré accordé et la force dépend de celui-ci.
- La magnitude : La magnitude dépend de la force du tremblement de terre. Elle est directement proportionnelle à celui-ci. En clair, plus la force est élevée, plus la magnitude l'est. La magnitude est représentée par le chiffre évalué par une échelle quelconque. Par exemple, si l'échelle de Richter présente une magnitude de 7 pour un tremblement de terre nommé et une magnitude de 2 pour un autre, celui de 7 a une magnitude plus élevée et du même fait, une plus grande force. La magnitude dépend de plusieurs facteurs. Une magnitude de 1 sera caractérisée par une secousse non ressentie, mais détectée par des instruments. Une magnitude de type 2 définiera une secousse partiellement ressentie, principalement par des gens étant au repos. La magnitude de 3 définie une secousse faiblement ressentie et certains objets peuvent se voir trembler. La magnitude 4, quant à elle, possède une secousse largement ressentie tant à l'intérieur qu'à l'extérieur des édifices et les tremblements d'objets sont fréquents. La magnitude de type 5 est une secousse forte qui peut réveiller dormeurs et provoquer des chûtes d'objets ainsi que des fissures dans les plâtres. La magnitude suivante est caractérisée par de légers dommages, quelques fissures dans les murs et ayant provoqué une certaine peur vis-à-vis les gens. La magnitude7 est définie par des dégâts et des larges brisures aux murs ainsi que par des chûtes de cheminées. Pour ce qui est la magnitude 8, on retrouve de forts dégâts allant même jusqu'à des habitations détruites et presque toutes les habitationssubissent des dégâts. La magnitude 9 détruit plusieurs constructions voire même parfois ceux de bonne qualité comme les chûtes des monuments et des colonnes. La suivante, la magnitude 10 est une destruction général des constructions et même les plus solides. La magnitude 11 est une des plus extrêmes, elle est caractérisée par une véritable catastrophe,toutes les constructions demeurent désormais détruitent comme les ponts, les barrages, les canalisations, etc. Maintenant,pour finir, la magnitude la plus forte de toute, c'est-à-dire la magnitude 12, se définie par un changement de paysage, d'énormes crevasses dans le sol, des vallées barrées et mêmes des rivières déplacée.
- Épicentre : L'épicentre est la projection de la Terre de l'hypocentre, là où commence la rupture dans celle-ci. L'épicentre correspond à la verticale du foyer. La plupart des dégâts prononcés sont à l'épicentre puisque les ondes sismiques ont plus d'énergie à cet endroit. Voici quelques schémas afin de mieux comprendre.
Source de l'image: Google
Sources des images: Wikipedia, site de l'Université Laval
4. Profondeur: La profondeur d'un séisme est l'espace entre la surface de la terre et l'espace où la fissure de la croûte terrestre survient. (hypocentre) Elle varie d'un séisme à l'autre.
5. Failles: Les failles sont des zones de ruptures de la croûte terrestre où s'est produit un mouvement. Elles se caractérisent selon le type de mouvement qui s'est produit près d'elles. Il s'agit d'une faiblesse dans la croûte. On compte plusieurs types failles telles les failles actives, capables, dextres, inverses, senestres, etc. La rupture commence à l'hypocentre dans la croûte.
Image : Google
Fait par : Jessica Bergeron, Martin Cyr et Marc-André Francoeur